Gala EISTI 2004


NOUVEAU : le diner + gala est ouvert aux anciens pour le prix de 90€/personne (80€ pour les cotisants)

En cette année des 20 ans de l’EISTI, le Gala EISTI 2004 est décliné sous le thème suivant :


« L’EISTI rencontre les Entreprises »

Le lieu des festivités est prestigieux puisqu’il s’agit du Cercle Interallié à deux pas de l’Elysées :
– à partir de 20h30, le dîner regroupe l’ensemble des membres de l’EISTI, les entreprises partenaires de la soirée des « 20 ans de l’EISTI », les anciens élèves accompagnés de leurs épouses, compagnes, parents, les étudiants invités… qui auront réservé une table au nom d’une ou plusieurs Entreprises[[Pourquoi & comment financer une table du dîner à hauteur de 1.500 euros ?
– cette réservation sert en partie à financer un repas prestigieux (à hauteur de 1.200 euros pour 10 convives sachant que 300 euros sont destinés à une association caritative)
– l’Entreprise sponsor de la table voit celle-ci porter son nom
– 2 places sont offertes par exemple à ses employés, à des élèves ingénieurs de l’EISTI, à des invités qu’elle aura proposés à l’Ecole, à des anciens élèves, et des représentants des entreprises et institutions]]
– à partir de 23h, la soirée de Gala (ouverte à tous) se donne dans les salons du Cercle Interallié sous la forme d’une soirée dansante avec Open Bar

Conditions pour la soirée de Gala Open Bar
– tarif ancien cotisant = 30 euros
– tarif ancien non cotisant (ou accompagnateur) = 40 euros

Avant la soirée :
– le BDE (Bureau Des Élèves) organisera des activités à l’école en relation avec les « 20 ans de l’EISTI ».}

Plus d’informations & réservations
Laetitia RUMMELT au 01 34 34 10 10

Entreprises ayant déjà réservé leur table
Unilog, SAS, Crédit du Nord, Everbee, IGS, AMD …

Le Cercle Interallié
– 33 rue du Faubourg Saint-Honoré – Paris 8ème
– à deux pas de l’Elysée

20 ans EISTI

Michel MOTRO (Président de l’EISTI) et Nesim FINTZ (Fondateur – Directeur Général) vous invitent à venir fêter les 20 ans de notre école le jeudi 6 mai 2004 dans le grand amphithéatre de l’EISTI à Cergy-Pontoise à partir de 14h30.

Programme
– 14h30 : accueil

Puis, sur le thème général des enjeux des sciences du traitement de l’information, une conférence puis une table ronde :

– 15h00 : conférence par Elyes JOUINI, Directeur de l’Institut de Finance de l’Université de Paris Dauphine

– 16h00 : table ronde

-* Thierry SIOUFFI, Président Directeur Général de Logica

-* Daniel DELORGE, Directeur Général de SAS Institute

-* Alain BEKERMAN, Directeur Général d’Unilog

– 17h00 : séance solennelle

-* François SCELLIER, Président du Conseil Général du Val d’Oise et Député

-* André LABARRERE, Sénateur-Maire de Pau

-* Jean MOUNET, Président du Syntec Informatique

-* Roger BURNEL, Président de l’Institut de Gestion Sociale

Suivent un concert de Jazz de Fabrice EURLY + cocktail dinatoire

Merci de retourner le coupon réponse que vous allez recevoir (ou avez reçu) à Laetitia RUMMELT – EISTI, avenue du Parc – 95011 Cergy Cedex.

Bilan du déjeuner du Club Bouygues des Anciens Elèves de l’EISTI

Le 7 avril a eu lieu sur le site de Challenger à Saint Quentin en Yvelines le 2ème déjeuner du Club Bouygues des Anciens de l’EISTI. Sur les 22 collaborateurs des différentes filiales du groupe qui ont suivi les cours de l’EISTI, 21 personnes étaient présentes illustrant l’intérêt des Club entreprises.

Nous avons accueilli pour ce déjeuner très convivial MM. Alain POUYAT – Directeur Général Informatique et Nouvelles Technologies du Groupe Bouygues & DSI de l’année 2002, Michel MOTRO – Président de l’EISTI et Nésim FINTZ

Nésim FINTZ nous a d’abord présenté les activités récemment mises en place à l’EISTI et les orientations qu’il souhaite donner à notre école. Cette présentation a permis d’une part aux eistiens de prendre conscience du chemin parcouru par l’EISTI depuis sa création et d’autre part de dresser à M Alain POUYAT le portrait type des eistiens.

Après avoir reconnu que les valeurs enseignées à l’EISTI, et notamment la capacité d’ouverture, étaient des valeurs importantes pour mener une carrière dans un groupe comme le groupe BOUYGUES, M Alain POUYAT nous a expliqué quelle était la place des nouvelles technologies dans les orientations stratégiques du groupe. Tout en montrant les futurs terminaux de Bouygues Telecom, il nous a fait part de sa vision de la convergence entre la téléphonie mobile et la télévision. Avec M. Michel MOTRO qui était encore récemment executive vice président de NEC Computers International, ils nous ont permis de mieux comprendre les enjeux des futures évolutions du monde des télécommunications.

Très heureux d’avoir eu des nouvelles de leur école par la voix de son directeur et avides de continuer ces déjeuners conviviaux et riches en échanges, tous les participants ont décidé de planifier un nouveau repas en septembre.
Des sujets circulent déjà :
Le recours à la prestation pour l’exploitation d’un SI : avantages / inconvénients
La mobilité dans un groupe : mythe ou réalité…

De son côté, M. Alain POUYAT s’est montré très satisfait de ce premier contact avec les eistiens.
To be continued…

Cercle des Entreprises

Après le succès de la première édition, le Club Bouygues des anciens de l’EISTI vous annonce la tenue de son second repas :

{{mercredi 7 avril 2003 à 12h30 au siège Challenger }}

Ce déjeuner se tiendra en présence de MM. Alain POUYAT – Directeur des Systèmes d’Informations du Groupe Bouygues & DSI de l’année 2002, Michel MOTRO->[email protected]] – Président de l’EISTI, [Nésim FINTZ->[email protected]] et [Edouard DESLANDES.

Le Club Bouygues des Anciens de l’EISTI rassemble une vingtaine de collaborateurs Bouygues présents dans presque tous les principaux métiers du groupe. Leurs objectifs sont de partager leurs diverses expériences, d’avoir des news sur la vie du groupe en générale et l’informatique du groupe en particulier, d’avoir des news de l’EISTI et surtout de partager des moments amicaux autour d’un bon repas.

Ce repas s’inscrit dans le Cercle des Entreprises, animé par Jacques MASSON (promo 2001). L’objectif du Cercle des Entreprises est de rassembler les anciens d’une même société pour créer une synergie de compétences et d’amitiés.

Plus d’infos :
Jacques MASSON : 01 30 60 28 12

Cercle des Promos

Ce Cercle des Promos réunira les anciens de 1986/87 & 2002/03 à l’EISTI (Cergy) dans le Grand amphithâtre,


lundi 5 avril 2004 à 19h00

dans le but avoué de reprendre contact avec Le Cercle, de promouvoir l’école, ses anciens et les étudiants actuels, et de savoir comment utiliser l’EISTI pour valoriser sa carrière dans le contexte économique actuel.

Présentation des capacités d’intervention du Cercle et de l’EISTI, notamment :
– aides à l’emploi, orientations
– présentation des recruteurs partenaires
– conseils personnels, notamment de carrière
– sponsoring : comment l’utiliser et comment en bénéficier ?
– présentation des activités associatives de la part des étudiants

Actualités de l’EISTI :
– ses projets de développement
– sa cotation au niveau : des entreprises, des étudiants, des autres écoles
– la collecte de la Taxe d’Apprentissage

Cette réunion se tiendra sous la présidence de Nesim FINTZ->[email protected]], Directeur de l’EISTI, d'[Edouard DESLANDES, Président du Cercle EISTI, et elle sera suivi d’un cocktail.

Pour plus d’infos + confirmation de présence :
[email protected]
Philippe VANBERGUE : 06 14 59 03 30

Cercle des Régions

Le bureau du Cercle organise son premier diner de l’année 2004 pour nos anciens de la région Nord à … Bruxelles, sous le signe de l’international, et du symbole de cette capitale européenne.

le samedi 27 mars 2004 à 12h00


le restaurant n'est pas encore déterminé

Les anciens sont conviés à partager une coupe de champagne offerte par Le Cercle ; et pour les retardataires, il sera possible de cotiser sur place.

Il se peut que notre base de données omette quelques-unes de vos connaissances de la région, merci de faire fonctionner le bouche-à-oreille.

Pour plus d’infos + réservations :
Philippe VANBERGUE :
– mobile : 06 14 59 03 30
– ligne directe : 01 34 25 10 24

Cercle de l’Emploi

Le 7e Cercle de l’Emploi aura lieu à l’EISTI,

mardi 16 mars 2004 à partir de 9h30
rendez-vous à la cafétéria

Destiné aux anciens en recherche d’emploi, il vise à apporter un soutien dans cette recherche, en bénéficiant des conseils de Philippe VANBERGUE et des contacts que peut vous procurer le réseau des anciens.

Merci d’amener vos CVs & lettres de motivation. Tous les anciens devront s’inscrire auprès de Laetitia RUMMELT avant de venir.

Pour plus d’infos + confirmation de présence :
. Laetitia RUMMELT au 01 34 25 10 10
. Philippe VANBERGUE, Délégué permanent du Cercle, ancien directeur d’un cabinet de recrutement

Brève économique : Le Syntec Informatique voit les informaticiens en intermittents

Le Syntec Informatique voit les informaticiens en intermittents

Jean Mounet (en photo), président du Syntec Informatique, la fédération des sociétés de services
françaises, affirme, dans un entretien accordé à notre confrère « Les Echos » daté du 2 septembre 2003
vouloir « mieux coller aux contraintes des projets et aux sauts de conjoncture » en ce qui concerne la
gestion du temps de travail et des effectifs des SSII.

Dans un « document de position » – une note préparatoire que « Le Monde Informatique » a pu se procurer –
redigé par la chambre patronale, il est surtout question pour l’organisation de retrouver des marges de
manœuvre après la mise en œuvre des 35 heures mais également d’infléchir certaines réglementations légales
ayant trait aux licenciements.

Au programme (que le Syntec souhaite négocier avec les syndicats dans les mois à venir), mainmise de
l’employeur sur le compte épargne temps afin de gérer au mieux les périodes d’intercontrat, développement
des CDD à condition de pouvoir dépasser la limite légale des 18 mois, assouplissement des procédures de
licenciement et… mise en place de contrats de chantier. Déjà appliqués à l’ingénierie, ces derniers
permettraient de lier dans le temps :
– embauche d’informaticiens et
– réalisation d’un projet particulier

Projet à l’issue duquel le salarié pourrait être licencié s’il n’est pas réemployable immédiatement.
La porte ouverte à la création d’un statut d’intermittent de l’informatique.

En terme d’agenda, le Syntec Informatique prévoit de présenter aux syndicats et au gouvernement une
« plate-forme » de négociation concernant l’emploi dans les sociétés informatiques en France.

Un secteur pour lequel Jean Mounet s’est également dit raisonnablement optimiste pour les mois à venir.
L’activité devrait reculer en 2003 mais pas au-delà de ce qui était prévu (-3%) ; 2004 sera marquée par le
retour à une croissance lente ; et tous les espoirs semblent permis pour 2005…

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Sources

– Article issu du journal Le Monde informatique du 02.09.2003


N’hésitez pas à faire profiter de vos lectures ou de vos remarques en nous écrivant à l’adresse suivante : [email protected]

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Les autres articles du mois :
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Témoignage d’Anciens : Quel est l’impact du Offshore ?

Le phénomène Offshore

Données concernant l’interviewée :

| Identité | Armelle Nedelec |
| Promotion de sortie EISTI | 1989 |
| Autres formations | Master in System Management au FIT – USA |
| Société, lieu | Jezz-Net à Zahlé – Liban |
| Poste occupé | Gérante |
| Domaine | SSII |

Après cette courte présentation, place au témoignage :

2pr – Tout d’abord, les présentations : quelle fonction exacte occupes-tu et au sein de quelle entité ?

Armelle Nedelec (A.N): J’ai fondé une société au Liban depuis maintenant 3 ans, Jezz-Net.
Cette société encore modeste actuellement a plusieurs objectifs :

– Promouvoir la notion de télé-travail… voire à l’international
– Promouvoir les logiciels libres
– Pouvoir travailler sur le marché du Moyen-Orient, sans emmigrer a Dubaï.

Je suis actuellement la principale employée de la société.

Notre coeur de métier est le suivant :
– Administration de Systèmes UNIX auprès des fournisseurs d’accès
– Developpement de sites web
– Mise en place et modification d’applications Web sous licence GPL

2pr – Quel est l’impact du phénomene offshore sur ton univers professionnel ?

Armelle Nedelec (A.N): Je n’ai malheureusement pas encore travaillé de cette façon, bien que ce soit un de mes
objectifs et une des raisons pour lesquelles j’ai favorisé des clients dépendant du ministères des affaires
étrangères Français.

Je le vois malgré tout d’une autre façon et ce dans la volonté des gens du pays de ne plus faire appel aux
compétences occidentales dans la mesure du possible.
En effet la plupart des intervenants extérieurs que je rencontre sont egyptiens ou viennent de Dubaï. On retrouve
là aussi beaucoup d’Indiens qui travaillent soit en offshore soit en s’expatriant vers la grande plaque tournante
high-tech du monde arabe : Dubaï.

Lors de la création de ma société, j’ai en effet rencontré plusieurs sociétés offshore au Liban, mais cela reste
encore marginal. En effet, les prix libanais sont très élevés par rapport au marché de l’Offshore et les patrons
Libanais ont du mal a comprendre qu’on ne fera pas de l’offshore en étant payé au prix Français…

2pr – Faut-il avoir peur du phénomene offshore ?

Armelle Nedelec (A.N): Je pense que tout dépend du point de vue dans lequel on se place.

Il est clair qu’il y a plusieurs facettes du phénomène offshore et qu’on peut le regarder de différentes manières :

1 – Coté pays en voie de développement

C’est bien-sûr une opportunité qui peut permettre à certains pays de se développer, comme le marché de
l’électronique a permis l’émergence des pays du sud-est asiatique.

Par ailleurs, Ce qui est un avantage pour les pays en voie de développement peut apporter des bienfaits aux pays
développés. En effet l’émergence d’une classe moyenne dans les pays en développement peut permettre de créer de la
richesse. Les ingénieurs de ces pays, au lieu d’émigrer vers les pays occidentaux peuvent « rester chez eux ». Leur
niveau de vie augmentant, ils créent autour d’eux une richesse distribuée à des gens avide de consommer des produits
occidentaux. Cela permet également de limiter l’immigration en supprimant la raison principale d’émigrer… qui est
économique. c’est plus facile et plus humain que de se battre contre les clandestins.

2 – Coté pays occidentaux

Là aussi, je sépare mon analyse en deux parties : Il n’y a en effet pas qu’un seul métier dans l’informatique et
tous ne seront donc pas touchés de la même façon.

Les informaticiens qui aiment rester seuls devant leur ordinateur sans voir un
client ; ceux qui pensent que l’informatique c’est bien, mais dommage qu’il y ait des utilisateurs…
Ceux-là doivent avoir peur.
En effet, leur travail, loin des utilisateurs et de préférence sans eux peut être fait n’importe où.

Par contre, il y a des métiers qui nécessitent le contact. On peut bien-sûr imaginer de travailler par e-mail,
video conférence etc…
Mon experience de travailler entre deux pays, de chez moi, me permet de vous dire que nous ne sommes pas encore prêts
à faire une bonne analyse à distance avec quelqu’un qui parle plus ou moins bien votre langue et qui a une autre
culture et d’autres références que vous…

2pr – Beaucoup imaginent déjà la fin des SSII. Est-ce exagéré ?

Armelle Nedelec (A.N): Je pense qu’il y aura encore des SSII : celles qui sauront revenir au sens primaire du
terme, c’est-à-dire société de SERVICE. L’informatique devra peut-être venir après…

On peut effectivement imaginer le service clientèle d’un éditeur de logiciel en France et le développement et la
hot-line dans un autre pays (attention à la langue pour la hot-line, mais il y a des pays francophones comme le
Maroc et le Liban qui peuvent se révéler intéressants).
Il restera en France ce qui nécessite le contact, mais il faudra être excellent, parce que le service sera cher !

2pr – Comment anticiper ce phénomene et en devenir acteur plutot que de le subir ?

Armelle Nedelec (A.N): Au niveau des sociétés, il va falloir déterminer ce qui est « exportable » et ce qui ne
l’est pas. Puis, développer l’excellence du service.

Pour les individus, il faut autant que faire se peut essayer de se diriger vers les postes demandant un maximum
de contact clientèle. Eviter les postes de développement ou on ne sort pas de son bureau : ce seront les premiers
touchés. Et si c’est ce que l’on aime, soit envisager de le faire en free-lance (ce genre de travail se developpera
a mon avis aussi) ou alors se tourner vers des sociétés qui ont des gros marchés avec l’Etat et surtout le secteur de
la défense (je ne vois pas l’Etat français déléguer ses informations confidentielles à une société qui développe
en Inde ou au Maroc).

2pr – Enfin, Comment se dessine selon toi l’avenir du monde informatique ?

Armelle Nedelec (A.N): Il se re-dessine géographiquement et passe par les même phases que l’industrie.

La notion de coût devient un facteur dans un domaine où il fallait simplement informatiser sans toujours se poser
la question de rentabilité. De plus en plus le client devient l’élément important (peut être ce qui aurait dû se
faire depuis longtemps).

Le phénomène des logiciels libres est dans la même démarche : le client refuse de se laisser prendre au piège par
une firme. C’était hier IBM pour le matériel et l’apparition des clones, c’est aujourd’hui microsoft avec la montée
de Linux. L’informatique a l’habitude d’une démarche où le client, une fois qu’il a acheté un produit chez vous est
piégé, et sert de « vache à lait ». C’est cette démarche qui va, selon moi, disparaître.
Survivrons ceux qui saurons dire au client : vous êtes chez nous, mais je vous fourni tous les outils pour passer
sur un autre produit quand vous le souhaiterez. Si vous restez chez nous c’est que nous sommes vraiment bons.

Lorsqu’on parle d’applications vitales pour le bon fonctionnement de la société, une telle démarche permet d’avoir
des prix supérieurs à la concurrence, si la différence de qualité du service le justifie.

2pr – Merci de nous avoir fait profiter de votre expérience !

N’hésitez pas à faire part de vos remarques ou bien de vos témoignages en nous écrivant à l’adresse suivante : [email protected]

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