Gala EISTI 2005, c’est Issy…

Notre Gala 2005 se déroulera au Palais des Arts et des Congrès (PACI) d’Issy-les-Moulineaux (92), le samedi 22 octobre de 19h30 à l’aube.

Au menu : remise des Prix Eisti Hommage et Coup d’Eclat…Buffet dînatoire puis open bar… musiques classique et brésilienne… DJ’s…. surprises…

Un temps fort et convivial dans la vie de notre Ecole.

André Santini, député-maire d’Issy-les-Moulineaux, viendra saluer le Gala de l’EISTI dans sa bonne ville d’Issy vers 21h.

Le Gala fera suite à la cérémonie de remise des diplômes de la promotion 2005 qui aura lieu dans le nouvel amphi de l’EISTI. Chaque ancien est cordialement convié pour accueillir ces futurs nouveaux anciens parmi nous.

Programme & Animations

EISTI :

Témoignage d’Anciens : Spécial Asie

Spécial Expats en Asie

Données concernant les interviewés :

| Identité | Yvon Le Renard |
| Promotion de sortie E.I.S.T.I. | 1993 |
| Formation post-diplômante | Marketing & Télécommunications, INSEAD de
Fontainebleau – France |
| Société, lieu | Nortel Asia à Hong-Kong – Chine |
| Poste occupé | Asia Pacific Wireless Business Development Manager |
| Domaine | Télécommunications (Téléphonie mobile de 3ème génération) |

Partons donc à la découverte de l’Asie avec Yvon Le Renard (Y.LR):

2πr – Tout d’abord une question toute simple : qu’est-ce qui vous a conduit à partir en Asie ?

(Y.LR) : Je suis parti en Asie pour plusieurs raisons :
– Tout d’abord pour découvrir personnellement et professionellement une région en pleine expansion,
particulièrement dans le secteur de la téléphonie mobile (expansion liée au fait que le taux de
pénétration de la telephonie fixe reste faible).
– Puis, il s’agit d’une opportunité d’expatriation que j’ai eu avec ma précédente société,
Motorola.

2πr – Quel est votre fonction au sein de la société ?

(Y.LR) : Mon job consiste en 3 points :

1- Identifier de nouvelles opportunités dans la region Asie Pacifique pour la vente de réseaux
cellulaires (téléphonie mobile) de 3ème Génération dans les pays les plus avancés ou de 2ème
Génération (GSM, GPRS, CDMA) dans les pays émergeants.

2- Mener à bien une vente dont les cycles sont très longs (12-18 mois en moyenne) qui démarre de
l’attribution des licences par les régulateurs, en passant par la stratégie, produit, prix et
aspect commercial à mettre en place, jusqu’à la signature du contrat.

3- Anticiper les tendances technologiques (WiFi, WiMax, nouveaux services et applications etc..),
veille concurentielle et travailler étroitement avec notre structure PLM (Product line
Management) au siège.

2πr – Quels sont les avantages d’une expatriation en Asie ?

(Y.LR) : Les avantages sont multiples.

Tout d’abord une responsabilité beaucoup plus large
due à une structure plus simple et avec moins de personnel qu’en Europe ou aux Etats-Unis. Depuis
4-5 ans chez Nortel, j’ai par exemple occupé les postes suivants :
– Product Marketing,
– Business Plan Analysis,
– Business Development

Tout en couvrant plusieurs technologies allant du GSM, GPRS, CDMA à l’UMTS (3G).

De plus, l’Asie présente l’avantage d’être un marché mixant toutes ces technologies, ce qui n’est
pas le cas aux Etats-Unis ou en Europe. La diversité des cultures et des pays permet également de vendre un jour une technologie déjà
bien établie en Europe (par exemple le GSM au Pakistan) et de travailler en même temps dans des
pays très avancés technologiquement comme le Japon et la Corée du Sud qui ont plusieurs années
d’avances sur la France, particulièrement dans les applications et services de téléphonie mobile.

2πr – La question que tout le monde se pose : l’E.I.S.T.I. est-elle connue jusqu’au pays du soleil levant ?

(Y.LR) :
Non. Pas vraiment… En plus il s’agit ici de télécommunication et non d’informatique. Les écoles
françaises les plus representées (chez Nortel) sont plutôt Télécom Paris, Télécom Bretagne,
Supélec… mais très peu les écoles d’informatique.

2πr – Ces dernières années, nous avons pu constater le décollage de cette zone avec notamment la montée en puissance de la Chine et de l’Inde. Quel est le sentiment sur place ?

(Y.LR) :
L’Inde effectivement pour le dévelopment informatique, la plupart des équipementiers concurrants
comme Ericsson, Motorola etc… ont également des structures R&D en Inde et encore davantage en
Chine.

Nortel, quand à elle, vient d’investir dans une société indienne pour sous-traiter une partie de
son dévelopment. Toutefois la transition reste difficile…

Sur le même sujet, on devrait également parler de la concurrence asiatique qui vient frapper à la
porte de l’Europe : La chine est en télécommunication beacoup plus avancée que l’Inde. Deux
monstres Chinois (ZTE et surout Huawei – les « Acatel » de la chine) sont aujourd’hui reconnus pour
les innovations par les plus grands opérateurs européens (Par exemple British telecom) et non plus
considérés comme il y a quelques années comme copieur de technologie. Ils viennent tous les 2
d’ouvir leurs bureaux à Paris.

2πr – Et que deviennent les Dragons d’Asie du Sud-Est ? Toujours en
course pour les technologies de pointe ?

(Y.LR) :
Je dirais surtout oui pour Taïwan et la Corée du sud. Je travaille aujourd’hui sur un projet en
Corée du sud depuis 4 mois ou Nortel vient de creer un Join-venture (i.e. un partenariat) avec LG
electronics (ndlr : Grand constructeur électronique de Corée du Sud – pour les télévisons LCD
notamment
). Ici commes au japon, les services en téléphonie mobile ont quelques années d’avances
et on parle déjà depuis quelques mois de 4ème Génération. En corée, le gouvernement y
est pour beaucoup : il a en effet une politique très innovante pour que la Corée reste le leader
technologique incontesté (cf. Samsung ou LG).

2πr – Quels conseils pourriez-vous donner à ceux qui souhaiteraient tenter leur chance dans cette partie du globe ?

(Y.LR) :
Fais ta valise et part demain ! c’est une région très riche professionellement et personnellement
avec des opportunités de carrières importantes.

Pour les jeunes ingénieurs, une coopération (appele maintenant « Volontariat ») ou un stage de 3ème
année est une très bonne porte d’entrée.

Pour les ingénieurs confirmés, avoir une société qui vous envoit en expatriation reste l’idéal,
mais de plus en plus rare et les packages (ndlr : Avantages accordés aux expatriés par les
sociétés
) sont de plus en plus maigres, donc la négotiacion est difficile. C’est pourquoi il ne
faut pas non plus nécessairement s’arrêter à ce statut « d’expat » : je l’ai été chez Motorola
pendant plus de 3 ans en Malaisie et à Singapour et suis maintenant avec status de local chez
Nortel à Hong-Kong. Mais j’en suis très content ! Il ne faut pas non plus s’arrêter devant les
discours de certaines ambassades ou consulats qui vous avertissent que votre femme ou concubine
n’a aucune chance de travailler… Ma femme a trouvé du travail aussi bien en Malaisie qu’à
Hong-Kong. Pour un statut local, il faut par contre être prêt malgré tout à rennoncer à quelques
avantages bien de chez nous comme les 7 semaines de vancances, RTT, écoles gratuites, securité de
l’emploi, chômage, sécu etc… et également prendre le risque de se faire virer en 10 minutes si
l’économie va mal. Mais ça vaut le coup !

L’environnement est, vous l’aurez compris, très dynamique.

2πr – Merci de nous avoir fait profiter de votre expérience !

Souhaitons donc bonne chance à celles et ceux qui seraient tentés de bénéficier d’une expérience en Asie…

N’hésitez pas à faire part de vos remarques ou bien de vos témoignages en nous écrivant à l’adresse suivante : [email protected]

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Les autres articles du mois :
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Brève économique : Jeunes Diplômés

Le retour en grâce des jeunes diplômés

Des ingénieurs de nouveau courtisés

Les offres de stages et d’emploi affluent de nouveau pour les jeunes bac + 5. Un retour en grâce
qui échappe à la surenchère salariale. Jusqu’à quand ?

« Nous recommençons à draguer les étudiants à la sortie des écoles ! », s’exclamait un patron
régional de SSII le mois dernier. « J’embauche à tour de bras » , répond en écho un autre
dirigeant de société de services. Enfin ! Le marché de l’emploi reprend pour les jeunes diplômés
de niveau bac + 5. Une bonne nouvelle après trois années de disette. Durant la crise, les jeunes
diplômés, adulés durant la parenthèse de la bulle internet, se sont brutalement retrouvés sur la
touche. « Pas immédiatement opérationnels », leur reprochait-on du jour au lendemain.

En peu de temps, la situation vient à nouveau de se retourner. A leur avantage, cette fois. Un
mois en moyenne leur suffit pour trouver un emploi. Qui s’en plaindrait ? Certes, ni les jeunes
issus de la promotion 2004 : angoissés, ils voient de nombreux diplômés de l’année précédente
encore, aujourd’hui, sans poste. Ni les dirigeants de ces cursus supérieurs, qui sont tout à coup
en proie à des avalanches d’offres d’emploi et de stages.

Rebond de l’embauche et baisse du nombre de CDD

En tout cas, leur constat est unanime : « C’est la première fois depuis bien longtemps que j’ai
autant d’offres d’embauche ! Quant aux propositions de stages, nous en avons reçu bien davantage
que nous n’avons d’étudiants », se félicite Michel Louvel, dirigeant de l’ENSI de Caen. Même son
de cloche à l’ISEP. « Ce n’est pas l’euphorie d’avant la crise. Mais nous recevons des offres de
stages en pagaille. Au point que je dois procéder à un premier tri », se réjouit Yves Serizier,
responsable des relations extérieures. De son côté, l’ISEN a reçu plus de 3800 offres d’emploi
en 2004 ! Soit plus du double de l’année précédente – le meilleur score depuis trois ans.
Toutefois, certains regrettent que les offres ne soient pas en adéquation avec le calendrier
scolaire.

Et pour les sceptiques qui douteraient de la réalité de ce rebond de l’embauche de jeunes
diplômés, les statistiques fournies par une trentaine d’établissements dans le cadre de ce
dossier sont sans équivoque. A l’ISEP, 73 % des étudiants de la promotion 2004 ont trouvé un
emploi en moins de deux mois. La totalité des étudiants de l’Institut des sciences et techniques
des Yvelines est soit en poste, soit en poursuite d’études. A l’EISTI, non seulement tous les
étudiants de la promotion 2004 sont placés, mais en outre, 80 % d’entre eux ont obtenu leur CDI
durant leur stage de troisième année. A l’UTT, 89 % sont salariés, et 11 % en recherche d’emploi.
La plupart ont trouvé un travail en moins de deux mois.

Signe des temps, la part des CDD a très nettement reculé depuis l’an dernier. A l’ESEO, grande
école basée à Angers, elle est passée de 30 % en 2003 à 13 % en 2004. Certes, il reste toujours
une frange de demandeurs d’emploi, six mois après l’obtention de leur diplôme. Mais, précise-t-on
à l’ESEO, un quart de ces jeunes ont décliné au moins une proposition de poste. De son côté,
l’ISTY a constaté une diminution du taux de pénétration de ses élèves à l’issue du stage.
Explication : l’an passé, nombre d’entre eux ont effectué des stages dans de grandes entreprises,
sans embauche à la clé. Pour les écoles, les stages de pré-embauche sont bien repartis, mais les
élèves préfèrent se donner le temps de trouver un meilleur poste.

Élèves et entreprises négocient à armes égales

Les pratiques des belles années, du type surenchère salariale, sont-elles de retour ? Non, pas
d’euphorie, répondent en choeur les directeurs d’établissement. La conjoncture favorise plutôt un
retour à un certain équilibre dans les relations entre les étudiants et les entreprises. Pour
Jean-Guy Sayous, directeur adjoint de l’ISTY, « les élèves et les entreprises négocient vraiment
à armes égales. C’est bon pour tout le monde. Pour autant, je ne crois plus du tout à la montée
des enchères. »

Les jeunes diplômés prennent donc le temps de réfléchir. Voire de rebondir. Selon Laurent
Trébulle, directeur des relations entreprise de l’EPITA, « les étudiants recommencent à avoir le
choix. On a même vu des diplômés repartir ailleurs quelques semaines seulement après leur
embauche ». Une bouffée d’oxygène pour des jeunes diplômés contraints, les années passées, à
accepter un poste à n’importe quelles conditions !

Reste que la reprise risque, une fois encore, de provoquer un sureffectif en cas de crise. Déjà
certains commencent à s’inquiéter du raz de marée. Par exemple, l’ENSI de Caen : « La moitié de
nos étudiants sont pour ainsi dire casés avant l’obtention de leur diplôme, avance Michel Louvel.
Non seulement les règles du jeu sont faussées, mais, surtout, ça leur monte à la tête ! »
Cependant, ces contrats, signés avant la fin des études, ont un avantage indéniable. En plus de
rassurer l’étudiant, ils l’aident à prendre des cours à la carte, en fonction des besoins.

SSII et cabinets de conseil en première ligne

Comme toujours dans les sorties de crise, ces offres proviennent en majorité des SSII et des
cabinets de conseil. Entre le mouvement massif d’externalisation des systèmes d’information chez
les grands comptes et la tendance à confier aux prestataires le soin de recruter à leur place,
les SSII et les cabinets de conseil se retrouvent, comme toujours, en première ligne. Et ce sont
encore les mêmes noms qui s’égrènent. Capgemini, Atos, Unilog, GFI, Altran, Transiciel Sogeti…
Sans oublier l’incontournable Sopra. La SSII – l’une des dernières à procéder encore à l’édition
de logiciels – se voit ainsi parfois qualifiée de « dévoreuse de jeunes diplômés ». Pour la
plupart, ceux-ci seront affectés à la R&D de ses nouveaux produits.

Certes, les SSII sont toujours considérées comme une école du terrain, qui aide les jeunes à
acquérir plusieurs expériences et à côtoyer des environnements techniques et humains diversifiés.
Il s’agit, en quelque sorte, de poursuivre l’apprentissage par d’autres voies. Pour autant, les
sociétés de services traînent une mauvaise réputation, tant auprès des étudiants que de leurs
professeurs. A l’EPITA, seuls 15 % d’entre eux s’y projettent à cinq ans après leurs études,
alors qu’ils sont environ la moitié à les intégrer à l’obtention de leur diplôme. « Quant à
certaines SSII, je conseille aux étudiants d’attendre d’avoir de l’expérience avant d’y entrer.
Sinon, c’est le massacre ! », indique un responsable d’école.

Ce faible attrait des SSII profite aux entreprises utilisatrices, longtemps restées en retrait du
marché. Les années précédentes, les DSI proposaient bien des stages. Mais, à l’issue de ceux-ci,
elles ne recrutaient pas. Elles préféraient s’appuyer sur les ressources des prestataires. Cette
année, les embauches directes reprennent. En particulier à la Société Générale, chez Gaz de
France ou chez France Télécom. L’ENSIMAG enregistre ainsi 25 % des recrutements de ses élèves
effectués par le secteur de la finance, signe de sa vitalité. Par ailleurs, l’automobile et
l’aéronautique plébiscitent aussi les diplômés à la double compétence électronique et informatique, notamment en ce qui concerne les systèmes embarqués.

Un tiers des recrutements provient des télécoms

Plus marquant encore est le réveil tant attendu du secteur des télécoms. « Depuis une petite
année, les entreprises du secteur télécoms, avec lesquelles nous n’avions quasiment plus de
contact, reviennent vers nous », indique Yves Serizier, de l’ISEP. Ces entreprises ont choisi un
certain nombre d’écoles et préparent leurs recrutements. Bernard Burtschy, représentant du
Groupement des écoles télécoms (GET), le confirme : « Le secteur informatique et télécoms avait
délaissé nos étudiants au profit de la banque et de l’assurance. Aujourd’hui, il revient en force
et représente un tiers des recrutements. » De son côté, Sup Télécom Bretagne (ENSTB) considère
que le retour des embauches chez les constructeurs télécoms est très significatif, et qu’il
augure d’une reprise globale du marché dans les prochains mois. Comme pour les SSII, ce sont les
mêmes acteurs qui, après avoir boudé les jeunes diplômés pendant trois ans, reviennent massivement
les courtiser.

En revanche, durant ces temps difficiles, les fonctions proposées ont globalement évolué à la
hausse. En effet, on ne parle plus de programmeurs ou de développeurs. La majorité écrasante des
postes proposés s’intitulent désormais ingénieurs d’études et consultants juniors. En cause, bien
sûr, les besoins des prestataires – ils ont nettement évolué avec le très fort développement des
forfaits depuis la crise. Mais également l’élévation générale du niveau d’études qui permet aux
entreprises de confier des missions plus complexes aux jeunes ingénieurs. Double compétence,
formations intensives au management… Les cursus sont désormais beaucoup plus musclés.

Sans oublier l’importance donnée à l’immersion en entreprise. « Les élèves qui ont fait une
année de césure sont embauchés bien plus rapidement que les autres », assure l’ENSTB. Du coup,
l’an prochain, près de la moitié de la promotion prévoit d’effectuer cette coupure. Alternance,
stage, année de césure, voire apprentissage… La part pratique des cursus constitue plus que
jamais le meilleur sésame de l’emploi.

La poursuite des études en baisse

Cependant, la vie professionnelle ne concerne pas l’intégralité des étudiants dotés de diplômes.
Une frange d’entre eux a choisi de poursuivre ses études. Selon les établissements, leur nombre
varie pour, en général, se situer aux alentours de 15 %. Un chiffre en baisse quasiment partout.
Témoin l’ENSIMAG, qui mentionne une réduction drastique entre 2003, où 24 % des étudiants
décidaient de poursuivre leurs études au-delà du diplôme d’ingénieur, et 2004, où ils n’étaient
plus que 14 %. Cette année, ils seraient moins de 10 % à envisager cette issue. « Autant le
chiffre était élevé en 2003, autant les prévisions de 2005 sont préoccupantes. Or, nous avons
besoin de bons éléments pour préparer la relève des universitaires qui vont prendre leur retraite.
Il faut voir là une influence directe de la mauvaise image de la recherche, consécutive aux
manifestations », commente l’école dans son étude annuelle.

Dans ce domaine, les situations et les avis divergent. « Dans les faits, nous sommes revenus à
une situation optimale pour les étudiants. Mais pas dans leur esprit. Ils sont encore prudents,
et préfèrent poursuivre leurs études, analyse Bernard Burtschy, du GET. Mais c’est aussi l’attrait
de la recherche et développement qui joue. Il est vrai qu’en matière de R&D, on était en
sous-investissement depuis quelques années. Nous assistons donc forcément à une reprise
technique.»

Mais attention, prévient Jean-Guy Sayous, directeur adjoint de l’ISTY, la poursuite des études
n’est pas forcément une bonne affaire. En tout cas, tout dépend de la façon dont elle est
conduite. Car, explique-t-il, « la montée de l’offshore met en péril certains savoir-faire en
France. Les développeurs purs, en particulier, ont du souci à se faire. D’autant plus qu’ils
seront très diplômés, et donc chers. » A bon entendeur…

Pour résumer

Les recruteurs apprécient :

– Les doubles cursus (une formation technique associée à une formation fonctionnelle ou en
management, facilités par les enseignements à la carte).

– Les stages effectués dans le même secteur que celui du recruteur.

– Les formations par apprentissage, qui dotent l’étudiant d’une expérience professionnelle de deux
à trois ans dès sa sortie d’école.

– Les étudiants conscients de la culture et du fonctionnement des entreprises.

– L’année de césure.

– Une expérience à l’étranger.

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Sources

– Article issu de la revue 01 Informatique par Xavier Biseul, Anne-Françoise Marès et Corinne Zerbib, le 29/06/2005


N’hésitez pas à faire profiter de vos lectures ou de vos remarques en nous écrivant à l’adresse
suivante : [email protected]

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Les autres articles du mois :
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Prix EISTI 2005 Hommage & Coup d’éclat

Les candidatures pour les deux prix EISTI Hommage et EISTI Coup d’Eclat sont désormais ouvertes.

Voici le dossier à remplir et à retourner à Marie-Pierre Piguet avant le 22 septembre 2005.

Vous trouverez un rappel des modalités de participation et de remise des prix dans le document joint.

N’hésitez pas à envoyer un mail à [email protected] pour tout renseignement complémentaire.

IMPORTANT !!!

Non, vous n’avez pas rêvé! Les dates de la remise des diplômes de la promotion 2005, du Gala et de la remise des prix « EISTI Hommage et Coup d’Eclat » ont changé!

L’ensemble de ces événements a été reculé d’une semaine. Ils auront donc lieu le 22 octobre 2005 de 14h30 à l’aube.

De ce fait, vous avez droit à une semaine de plus pour renvoyer vos dossiers de candidature pour les prix « EISTI Hommage et Coup d’Eclat ».

Tous les articles sur le site du Cercle ont été mis à jour.
N’hésitez pas à les consulter de nouveau:

Gala EISTI 2005

Remise des prix EISTI Hommage et Coup d’Eclat

Dossier de candidature pour les prix EISTI Hommage et Coup d’Eclat

WEI 2005

Le WEI se déroule du 14 au 18 septembre 2005 à Seignosse dans les Landes.

– Départ le 14/09/2005 vers 23h

– Retour le 18/09/2005 vers 23h

Sur place, on retrouve la plage à 300 m, lac marin à 300 m + piscine, volley, pétanque, ….

Tarifs :

– Le prix est de 152 €.
– Le prix est de 140 € pour les anciens cotisants.

Ce prix comprend :

– transport
– hébergement
– repas (pension complète)
– activités

Les draps ne sont pas fournis

Pour vous inscrire, il est possible de :

– remplir le formulaire du site (en construction) http://bdesamba.free.fr
– d’envoyer un mail à [email protected] avec nom prenom promo.

Le cheque de reglement (ordre : BDE-BDA EISTI) est à envoyer à :

BDE EISTI

Avenue du parc

95000 Cergy

En souhaitant une grande participation de votre part.

L’équipe du Cercle

Apéritif dînatoire

Le Cercle convie les anciens élèves cotisants 2005[possibilité de [cotiser, ses partenaires DRH & recruteurs adhérénts, le Conseil d’Administration et le corps professoral de l’EISTI, les Présidents des associations étudiantes et leur bureau restreint,

à son apéritif dînatoire, sous le patronnage de Michel MOTRO – Président de l’EISTI, et de Nesim FINTZ – Directeur de l’EISTI,

le jeudi 23 juin à partir de 19h30 & jusqu’à 21h30 (merci de venir tôt).


Omnisens
23 rue des Pirogues de Bercy
Bercy Village - face à l'hôtel Ibis
75012 Paris

parkings : Saint Emilion & Bercy-Terroirs
métro : Cours St Emilion (ligne 14)

Ce Spa raffiné vous reçoit avec les services du traiteur CoJean : champagne, jus de fruit & eaux minérales à discrétion, amuses-bouches salés[canapés poulet pamplemousse olive noire, saumon pamplemousse, légumes grillés, assiette wraps…]] ; des soins habillés relaxant[[massage assis, massage des mains, shiatsu du visage]]vous sont offerts par quatre praticiennes, l’accès à l’espace détente est libre, un tirage au sort vous permet de gagner une des spécialités d'[Omnisens.

Entrée sur présentation du carton d’invitation[[envoi par courrier postal, nous prévenir par tél. au 01 34 25 10 10 si vous n’avez pas reçu le carton d’invitation]] et après vérification ou après acquittement de votre cotisation 2005.

Les anciens cotisants de province qui ne pourraient se rendre à cet évènement, sont conviés à partager une coupe de champagne lors des dîners organisés dans le cadre des Cercles des Régions.

De plus, lors de cette soirée, les premières informations concernant le Gala EISTI 2005 nouvelle formule et la remise des prix EISTI Hommage et Coup d’Eclat vous seront communiquées.

Pour plus d’infos :
– le site web Omnisens : www.omnisens.fr
le plan d’accès
– votre interlocuteur sur cette soirée : Sandrine BONBOIS (promo 2003) par mail ou sur le mobile 06 62 18 39 09
– sur une idée originale de A Touch Of

Cercle de l’emploi (#9)

Le 9e Cercle de l’Emploi aura lieu à l’EISTI

mardi 14 juin 2005 à 10h00

Destiné aux anciens en recherche d’emploi, il vise à apporter un soutien dans cette recherche, en bénéficiant des conseils de Philippe Vanbergue et des contacts que peut vous procurer le réseau des anciens.

Merci d’amener vos CVs & lettres de motivation. Tous les anciens devront s’inscrire auprès de Philippe VANBERGUE avant de venir.

Philippe VANBERGUE est le délégué permanent du Cercle à l’EISTI, et ancien directeur d’un cabinet de recrutement
[email protected]
– 01 34 25 10 24